L’Édito
Échanges… Tel est le thème du présent numéro. Il aura su étonner par sa simplicité les amoureux du numérique, habitués aux termes plus vagues et aux sous-entendus alambiqués.
Qu’ils ne se laissent pas tromper pour autant, car derrière un mot si simple en apparences se cachent de multiples facettes. Partage, transfert, communication ; rencontre, guerre, voyage ; discours, contact ou encore éloges, voici autant d’échanges que le cœur saurait en rêver et que les contributions étudiantes et de jeunes diplômés ici rassemblées désirent vous dévoiler.
Cependant, ce numéro ne se contente pas de rassembler diverses œuvres mais renferme également un dossier accueillant articles et interviews destinés à vous plonger au plus près du projet de l’Université Paris-Saclay, de ses acteurs et de ses étudiants.
Tous ont répondu à notre invitation afin que vous puissiez les rencontrer, découvrir leur œuvre et leurs aspirations au sein de l’université et en dehors.
Certains parmi les plus attentifs auront remarqué un léger retard dans la publication de ce numéro, suite logique des quelques péripéties qui marquèrent sa création.
Malgré tout, si vous avez cette revue entre les mains aujourd’hui, c’est grâce à tous ceux qui ont soutenu ce projet dans ses moments de crise et l’ont rendu possible.
Je tiens donc à remercier du fond du coeur tous ces acteurs de l’ombre et notamment l’Université Paris-Saclay, le Bureau des Arts CentraleSupélec et, plus spécifiquement, toute l’équipe de rédaction de Hiatus, mais surtout vous, nos lecteurs, sans qui cette aventure serait dénuée de sens.
Bonne lecture,
Charles LITZELMANN